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mardi 25 mai 2010

2010.05.18/19/20 Pico Mir et Molières














Sept heures du matin, nous partons skis au sac pour quelques petites minutes, en direction du refuge de la Rencluse ; ciel bleu, petite gelée matinale ; au refuge nous nous débarrassons du superflu afin de nous allégé un peu, puis, sur une neige bien dure, nous mettons le cap en direction du col d’Albe ; très vite la Tuca Blanca se dresse devant nous , puis se présente le col, alors que nous laissons derrière nous de magnifiques vallons de neige ; passer le col, cette même neige nous empêcheras de tenir nos objectifs et nous nous contentons de faire le Pico Mir, après que Michel et ouvert le passage entre de gros blocs de granit recouverts d’une couche croûtée qui ne porte pas et donc, nous redescendons par le même itinéraire ; tout d’abord sur de la vielle poudre un peu lourde, puis tout en douceur sur une croûte skiable mais fragile et un final dans quinze centimètres de soupe ma fois pas indigeste. Le reste de l’après-midi se passera comme d’habitude a flâné autour du refuge.
Le lendemain matin, nous partons pour faire le pic des Molières, mais en sortant du refuge, nous apercevons au nord, de vilains nuages ; l’âne est sur l’Aneto, les avions laissent derrières eux de grandes traînées blanches ; ail ail ail ; nous faisons le forcing, passons le col de la Rencluse et là, mauvaise surprise, notre sommet et les valons que l’on doit prendre sont complètement bouchés ; nous continuons malgré tout, espérant que le vent ballera ces nuages, mais rien à faire ; a quatre cents mètres du sommet, sur des pentes raides, nous sommes dans la purée, le vent givre nos vêtements, nous entamons la descente ; de retour au col de la Rencluse, avec Michel nous remonteront quelques centaines de mètres pour passer le portion inférieur ; l’Aneto est lui bien dégagé, avec des nuages qui s’accrochent et ce décrochent à une vitesse folle ; nous redescendons au refuge dans la même soupe pas désagréable de la veille ; l’après-midi ce passeras au refuge, à faire la sieste ; le soir le ciel est gris tous les sommets accrochés.
Le réveil de notre troisième jour seras plus souriant avec un beau ciel étoilé ; nous repartons pour le même sommet ; ce coup-ci, de merveilleux valons ce découvrent à nos yeux, puis le sommet, d’où nous entamons la descente sur une excellente neige de printemps et sous le regard des pauvres marmottes qui ne voient toujours pas reverdir leurs prairies

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